• Voilà presque un ans que j’évolue dans le milieu du libertinage  breton , avec  cheri . Nous avons croisé des couples timides débutants ou décidés,, des hommes seuls plus ou moins respectueux.

     

    Chacun a sa propre définition du libertinage, c’est certain. Mais il est également vrai qu’être libertin nécessite ouverture d’esprit et tolérance. Or parmi ceux qui évoluent dans le milieu du libertinage et qui se revendiquent libertins, tous n’acceptent pas les points de vue différents, certains ont la critique facile.

     

    Pourtant, le libertinage est un espace de liberté dans lequel le jugement des autres n’a pas sa place, une parenthèse où le lâcher prise prime sur les codes et obligations de la vie quotidienne. La liberté des uns s’arrêtant là où commence celle des autres, d’autant plus en matière de libertinage.

     

    Malgré tout, nous avons fait de belles rencontres. Notre route a croisé celles de personnes aimant le sexe mais l’abordant d’un point de vue équilibré, des personnes avec lesquelles nous aurions pu sympathiser dans la vie quotidienne, même si ce n’était pas l’objectif sur le moment.

     

    Alors non, malgré les mauvais esprits, je ne vais pas ranger ma plume, encore moins changer ma façon d’aborder le monde du libertinage. Qu’importe si on ne peut pas plaire à tout le monde, l’essentiel est d’être en accord avec soi même

     

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  • En matière de plan coquin, il y a trois écoles : les soirées en club échangistes, les après midi en sauna libertin, les soirées privées.

     

    Les soirées en clubs échangistes sont idéales pour des libertins débutants. Parce qu’ils allient le côté festif (pistes de danse) avec la possibilité (éventuelle) de coquiner. Ces soirées sont ouvertes aux couples et parfois aux hommes seuls (qui paient un bras pour pouvoir rentrer).

     

    Les après midi en sauna libertin sont plus recherchés par des libertins exhibitionnistes aimant les contacts directs. L’absence de vêtements minimisant l’aspect séduction.

     

    En ce qui concerne les soirées privées, elles se déroulent chez des libertins pouvant recevoir ou louant des clubs ou apparts pour y organiser des soirées. Il s’agit généralement de soirées multi-couples.

     

    Les débuts de soirée privée sont toujours des moments mémorables.

     

    Le lieu a un impact important sur le déroulement d’une soirée privée : Le port de talons de 12 est-il aisé ? Où sont les coins câlins par rapport à la pièce principale ? L’ambiance des coins câlins est-elle intime (de par la configuration et/ou la décoration) sans compliquer la circulation et les mouvements ?

     

    Après la découverte des lieux vient la découverte des autres libertins. Il y a toujours ceux qui annulent au dernier moment et ceux qui sont (très en retard). L’équilibre de la soirée peut être alors délicat, si par exemple il y a trop d’hommes seuls par rapport au nombre de couples.

     

    Se pose ensuite la question du feeling. L’objectif n’est pas de se faire des amis mais d’avoir un minimum d’attirance et de partager un état d’esprit commun pour avoir envie de coquiner ensemble.

     

    Viens alors le lancement de la soirée coquine à proprement parler. Ce moment où après avoir bu quelques coupes de champagne, échangés les pseudos net échangisme et partagé des expériences cocasses de libertinage, il faut passer à la partie horizontale.

     

    Il y a plusieurs cas de figure :
    1/ Les gens se plaisent et sont dans le même état d’esprit. Échange de regard équivoques => Qui va se lancer le 1er ? Tension sexuelle
    2/ Un ou plusieurs détails clochent mais on sent qu’il y a du potentiel => Combien de temps va t-on s’observer avant de se lancer ? Tension psychologique
    3/ Pas de feeling avec les autres libertins => comment va t-on pouvoir prendre ses jambes à son cou sans froisser ni l’organisateur ni les autres libertins ? Tension tout court

     

    Mais lorsque les soirées privées sont réussies, celles à la fin desquelles on cherche ses sous-vêtements et on finit par reprendre une coupe de champagne nue tout en continuant à se caresser et s’embrasser, elles laissent un souvenir doux et sensuel.

                                             

     

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  • portes

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  • c est quoi un bukkake

    Mon histoire avec le sperme est une histoire d’amour "je t’aime, moi non plus". Nous avons des hauts et des bas, mais nous ne pouvons nous passer l’un de l’autre.

     

    Avant de rencontrer mon bebe , je n’avais jamais goûté au sperme. Mon ex avait pourtant souvent essayé de me faire goûter le sien, en vain. Le sperme ne m’attirait pas du tout, bien au contraire.

     

    Aujourd’hui, j’apprends à aimer le sperme, doucement mais sûrement. Entre le dégoût que je ressentais au début face à cette substance étrangement chaude et visqueuse,  et le plaisir que j’éprouve maintenant quand il glisse et coule sur mon corps, il y a déjà eu un grand pas.

     

    J’ai fini par y goûter, j’ai fini par avaler. Est ce que j’ai aimé ? Pas vraiment. Mais je ne voulais pas mourir idiote et je voulais aussi faire plaisir à mon homme (plaisir ultime pour un homme n’est ce pas ?!). Constat (comme toutes celles qui sont passées par là) : en fonction de ce que l’homme mange, le sperme n’a pas du tout le même goût, une pointe d’acidité parfois. Et d’un homme à l’autre, le sperme n’a pas la même texture : plus ou moins liquide.

     

    Je n’avale pas très souvent  . Et j’avoue que je reste encore un peu perplexe face aux filles qui ADORENT avaler (un peu comme celles que j’ai pu voir se rouler par terre de plaisir après une sodomie d’ailleurs).

     

    Force est de constater cependant qu’une partie du plaisir que je prends à recevoir du sperme est psychologique : l’idée que je suis à l’origine de l’éjaculation masculine, que je réussis à faire gicler un homme est terriblement jouissive. C’en est devenu une (petite) fierté. Est ce que les femmes réclamant le sperme ressentent la même chose ? Ou est ce qu’elles aiment avaler le sperme comme elles aiment avaler certains aliments ? Il faudra que je trouve l’occasion d’aborder ce sujet quand j’en croiserai une.

     

     tout cela pour arriver au bukkake: cest quoi en fait ben cest un gang bang qui se finit par une douche de sperme franchement ca ne ùe fait pas rever du tpout et vous ????

     

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    cheri et moi avons souvent le même débat quand nous croisons des libertins avec qui nous ne trouvons pas de terrain de jeu : Y a t-il des ‘vrais’ et des ‘faux’ libertins ? Qu’est ce qui définit un libertin ?

    Il est vrai également que les sites de rencontres libertines regorgent de fantasmeurs, d’adaptes de plans cam et autres curieux pas vraiment décidés.

    De la même façon, en soirée coquine, la ‘motivation’ des uns et des autres est parfois inégale et les soirées peinent à ‘démarrer’.

    Qu’est ce qui définit un libertin au final ? Le nombre de partenaires ? Les pratiques sexuelles ? La régularité des pratiques ? Tous ces ‘critères’ cumulés ?

    Le mot ‘libertin’ désignait à l’origine quelqu’un qui manifestait une indépendance d’esprit par rapport aux enseignements religieux et qui remettait en cause des dogmes établis. Aujourd’hui, le terme ‘libertin’ se rapporte à une personne qui s’adonne aux plaisirs charnels avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle.

    La liberté de penser et d’agir apparaît donc comme un fondement du libertinage. Chacun est en effet libre de voir midi à sa porte et, je l’ai toujours affirmé au travers de mes articles, de vivre sa sexualité comme il le souhaite : comme un expérience plus ou moins intense, comme un mode de vie plus ou moins assumé au grand jour, avec un ou plusieurs partenaires.

    Pour autant, je pense que libertiner implique de respecter certains codes.

    * Soigner son apparence
    Les femmes dans le milieu libertin sont instinctivement habillées sexy (c’est la femme qui fait office de produit d’appel, n’est ce pas ?!). Mais ces messieurs se doivent également soigner leur apparence.

    * Porter un regard respectueux & avoir pour objectif premier de donner du plaisir
    Non les soirées libertines, que ce soit en club ou privées, ne sont pas l’occasion de se taper de la meuf/grosse chaudasse.

    * Avoir une hygiène irréprochable
    Les poils sont rarement les bienvenus et se rincer pour être frais et propre juste avant le ‘démarrage’ est apprécié.

    * Respecter les limites des autres & ses propres limites. Autrement dit accepter et entendre un ‘non’. Principe de base sans lequel libertiner serait une contrainte et sur lequel aucune concession n’est possible.

    Pour finir, je dirais que le libertinage est pour moi un état d’esprit et un mode de vie sexuelle, dont la place est, je l’avoue, de plus en plus importante dans ma vie

     

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